dimanche 28 décembre 2008

Objets année 30





Quelques objets des années 30

mercredi 26 novembre 2008

Artiste marquant – AM Cassandre


Artiste marquant – Cassandre
Graphiste, affichiste, décorateur de théâtre, lithographe, peintre, et créateur de caractères d'imprimerie, d'origine française (1901 - 1968)
Cassandre, pseudonyme d'Adolphe Jean Marie Mouron
Il est principalement connu pour ses affiches publicitaires très dépouillées pour l’Étoile du Nord, Chat Noir et Dubo, Dubon, Dubonnet, ou la célèbre affiche du paquebot Normandie, réalisée dans les années 1930.
il est au courant de la recherche artistique de son époque et fut particulièrement marqué par le cubisme et le purisme, ainsi que par le travail des photographes et des cinéastes. L'influence des futuristes italiens transparaît dans son œuvre à travers sa façon de rendre visuelles la vitesse et la modernité, en particulier dans les publicités pour le train ou les paquebots. Il se fait ainsi le chantre du progrès technique et son œuvre est en cela emblématique de l'époque.
Il définissait sa manière comme « géométrique et monumentale ». Ces travaux exposent son style très identifiable reposant sur une simplification des formes et l'accentuation des perspectives, et ce pour souligner l'aspect très géométrique de ses sujets, en particulier sur les affiches pour les paquebots (voir son affiche spécialement créée pour le voyage inaugural du Normandie, remarquablement silhouetté de face, le 29 mai 1935). La typographie occupe une place décisive et fait partie intégrante de la composition. Il est l'un des premiers à utiliser les lettres comme des éléments graphiques essentiels à la composition et à les traiter comme des surfaces. Cassandre crée d'ailleurs ses propres caractères ainsi que des logotypes comme celui d'Yves Saint-Laurent. Les polices utilisées sont quasiment exclusivement des capitales linéales (sans empattement) dont la simplicité permet le traitement modulaire et la construction géométrique quasi architecturale qu'il affectionne. Elle offrent en outre l'avantage de pouvoir être déformées tout en demeurant lisibles.
Les fontes créées par Cassandre reposent sur des formes pures, réduites à l'essentiel tout en demeurant identifiables. Convaincu que les capitales romaines constitue la forme la plus pure et la plus noble de l'alphabet, il omettra fréquemment de développer des minuscules qu'il considère comme une altération du modèle due aux contraintes de l'écriture manuscrite et préférera créer des bas de casse qui sont en fait de petites majuscules.
L'œuvre de Cassandre se distingue également par son travail sémantique. Dans le cadre de la campagne pour l'apéritif Dubonnet, il crée une succession d'images dont la légende fait apparaitre progressivement la marque et constitue le slogan, soutenu par l'illustration : dubo (un homme stylisé regarde un verre d'apéritif, seuls le verre, son bras et son visage sont en couleurs, le reste est esquissé), dubon (il le porte à sa bouche, la couleur se répand dans son corps), dubonnet (il se ressert et toute l'image est en couleur).
Le style de Cassandre associe la pureté des lignes à l'utilisation dramatique de la couleur notamment par des dégradés réalisés à l'aérographe, une technique qui se répand progressivement dans les années 1920.
(définition Wikipédia)
Illustration : A.M CASSANDRE oeuvres graphiques modernes 1923 – 1939 – Éditions BNF
http://www.cassandre.fr/

dimanche 23 novembre 2008

Artiste marquant – François POMPON

Sculpteur, d'origine française (1855 – 1933)
Pompon a été le premier artiste animalier à adhérer aux tendances de l’avant-garde sculpturale. Si ses dessins s’apparentent à ceux de Modigliani, Marcel Duchamp, Zadkine etc., des sculptures comme « Le canard sur l’eau » évoquent le phoque de Brancusi « La cigogne » ou « la grue cendrée » de Pompon ont les mêmes formes ovoÏdes que « l’oiseau d’or » de Zadkine (1920), « les colombes » (1913) de Barbara Heptworth ou « les colombes » de Jacob Epstein.
Pompon maîtrisait aussi bien l’art du bronze que la taille directe (il fit des pratiques pour Rodin pendant plus de quinze ans et pour Saint Marceaux plus épisodiquement). A partir de 1922, Pompon participe aux expositions de la « douce France » organisées par Emmanuel de Thubert, mais il ne considère pas la taille directe supérieure à l’édition en bronze. Pompon pense que les deux techniques ne s’excluent pas (en 1919, c’est déjà un débat dépassé). Pompon expose en compagnie de Joseph Bernard « le vase aux canards » et « la taupe » à la galerie Barbazanges.
Bien que fidèle au Salon des Artistes Français, Pompon se joint à la Société des Artistes Animaliers Français lors de la troisième exposition en 1921 sous la présidence de Georges Gardet dont la démission sera obtenue en 1931. Pompon dominait ce salon depuis de nombreuses années en compagnie de Edouard-Marcel Sandoz. Ils fondent un salon dissident en 1927 ; le Salon des Animaliers contemporains.
(définition du liens)
Sont oeuvre la plus connue, est surement l'ours polaire.
http://www.pompon.fr/

jeudi 20 novembre 2008

Rue MALLET-STEVENS

Une rue avec un concept total créer par un seul créateur pour différent client.
La rue Mallet-Stevens est inaugurée le mercredi 20 juillet 1927 à 15 heures en présence de Monsieur Bokanowski, Ministre du Commerce et de l'Industrie, et de Messieurs Bouju, Préfet de la Seine, Chiappe, Préfet de Police et Fernand-Laurent Conseiller Municipal de Paris.
http://www.associationruemalletstevens.com/
Adresse : rue Mallet-Stevens 75016 Paris

samedi 15 novembre 2008

Villa La ROCHE et JEANNERET

Le Corbusier, soucieux d'éviter la dispersion de ses études, de ses plans, et de certaines de ses oeuvres plastiques avait, avant sa disparition jeté les bases d'une fondation à laquelle il a légué l'ensemble de ses biens. Reconnue d'utilité publique par un décret du 31 juillet 1968, la Fondation Le Corbusier est installée dans ces villas.
http://www.fondationlecorbusier.asso.fr/fondationlc.htm
Adresse : 8-10, square du Docteur Blanche 75016 Paris

vendredi 14 novembre 2008

L’olympia Paris



L'Olympia : une salle mythique, le plus prestigieux music hall de Paris,... Chanson, jazz, comique, pop, rock, rap : les plus grandes vedettes, le talent à l'état pur, des soirées inoubliables depuis plus de 50 ans…
L'Olympia vit au rythme des concerts et de l'émotion partagée par les artistes et les spectateurs.
Ouvert en 1893 par Joseph Oller, le fondateur des montagnes russes,du Pari Mutuel et du Moulin Rouge, l'Olympia est le plus ancien music-hall de Paris encore en activité.Aujourd'hui, on reconnaît L'Olympia facilement à ses lettres rouges géantes sur la façade. Inauguré par la plus grande vedette française de l'époque, La Goulue, il accueillit les plus grands artistes français.
En plus de la musique et de la chanson, l'Olympia accueillait une grande variété de spectacles, y compris des cirques, des ballets, et des opérettes.
Suite au déclin des spectacles de grandes vedettes, Jacques Haïk, le créateur du Grand Rex, a entièrement reconstruit l'ancien music-hall de Joseph Oller pour en faire la magnifique salle qui sera classée monument historique en 1993. Cette salle n'a jamais été fermée, elle fut cinéma et music-hall de 1930 à 1987 sous l'enseigne "Olympia Théâtre Jacques Haïk".
Menacé de destruction depuis longtemps, puis reconstruit en 1997, il est classé patrimoine culturel le 7 janvier 1993 par le Ministre de la Culture français, Jack Lang, ce qui aboutit après deux années de chantier à une reconstruction à l'identique de la salle et de son célèbre hall rouge, quelques mètres plus loin, la façade n'ayant pas été touchée. En 2001, Vivendi Universal rachète la salle de spectacle. La scène aussi a changé de place.
(définition Wikipédia)
http://www.olympiahall.com/
Adresse : 28, Boulevard des Capucines 75009 Paris
Illustration : Olympia Bruno COQUATRIX – Éditions hors collection

jeudi 13 novembre 2008

Artiste marquant – Marcel GROMAIRE suite 2


Artiste marquant – Marcel GROMAIRE suite 2
Une autre illustration pour cette artiste.
Illustration : Marcel GROMAIRE - La vie et oeuvre – catalogue raisonné des peintures – La bibliothèque des arts
http://www.presidence.fr/html/gromaire/biographie.htm#

mercredi 12 novembre 2008

Courant du passé – Cubisme



Mouvement artistique
Selon Guillaume APPOLINAIRE « ce qui différencie le cubisme de l'ancienne peinture, écrit il, c'est qu'il n'est pas un art d'imitation, mais un art de conception qui tend a s'élever jusqu'à la création... En représentant la réalité conçue ou la réalité-créée, le peintre peut donner l'apparence de trois dimensions... Il ne le pourrait pas en rendant simplement la réalité-vue ou en perspective, ce qui déformerait la qualité de la forme conçue ou créée... »
Illustration : Cubisme – Cercle d'art

mardi 11 novembre 2008

Artiste marquant – Coco CHANEL



Modiste, d'origine française (1883 - 1971)
Créatrice de la célèbre maison de couture parisienne.
Elle taille des robes de sport dans le jersey des sweaters de lads, ces tricots de corps pour les soldats, qu'elle a depuis longtemps adoptés. Libérant le corps, abandonnant la taille, Chanel annonce cette « silhouette neuve » qui lui vaudra sa réputation. Pour s'y conformer, les femmes s'efforcent d'être « maigres comme Coco », qui, d'un coup de ciseaux libérateur, devient une des premières femmes aux cheveux courts à créer des vêtements simples et pratiques, dont l’esthétique s’inspire d'une vie dynamique et sportive qui aime jouer avec les codes féminins/masculins.
(définition Wikipédia)
Illustration : Coco CHANEL – Grandes biographies - Flammarion

lundi 10 novembre 2008

La Maison de Verre

La Maison de Verre est un projet réalisé par l'architecte-décorateur Pierre Chareau et l'architecte Bernard Bijvoet pour le docteur Dalsace entre 1928 et 1931. Elle est son œuvre majeure, composée de trois étages, conçue comme un espace total, dont la façade sur cour est complètement vitrée : une structure métallique tramée soutient des panneaux en pavés de verre. Tandis que les chambres s'isolent par des portes-placards, en bois ou métal, qui coulissent ou pivotent. La structure (poutres et poutrelles en acier), les canalisations et conduits restent visibles et participent à l'architecture, transformant ainsi les éléments utilitaires de la maison en éléments décoratifs. Il utilise aussi des dalles ou briques de verre séparant les espaces et parfois les mises en façades sont rythmées en contraste avec le béton (jeu de géométrie avec des influences japonaises, des répétitions formelles et une trame rythmique)
La nouvelle maison s'est glissée sous l'ancien hôtel particulier, car la locataire âgée du dernier étage ne voulait pas partir.
(définition Wikipédia)
Adresse : 31, rue Saint-Guillaume 75007 Paris

dimanche 9 novembre 2008

Artiste marquant – Jean PROUVE



Designer, d'origine française (1901 – 1984)
La société des ateliers Jean PROUVE, très ingénieux pour créations de ses chaises et mobiliers d'écoles en acier, ses maisons en structure métallique reproductible a bas prix et ces murs rideaux.
Illustration : Jean PROUVE - Taschen

samedi 8 novembre 2008

Front populaire 1936

Le 7 juin 1936, les accords de Matignon furent signés par la CGT et le patronat, à l'initiative du gouvernement. Ces accords mettaient en place entre autres le droit syndical et prévoyaient une hausse des salaires de plus de 7 à 15 % selon les branches soit environ 12% de moyenne sur toute la France. Quelques jours plus tard, bien que ces mesures ne figurent pas dans le programme du Front Populaire, par deux lois votées par le Parlement, les premiers congés payés (2 semaines) furent instaurés, et la semaine de travail passa de 48 à 40 heures. Pour les ouvriers et employés partant en vacances, Léo Lagrange créa des billets de train avec 40 % de réduction, qui existent toujours.
Le 29 juillet, fut votée la retraite des mineurs et, le 28 août, une loi sur les allocations chômage. Une politique de nationalisations fut mise sur pied, dans l'industrie aéronautique, d'armement (7 août), puis dans les chemins de fer (naissance de la SNCF en 1938). La Banque de France ne fut pas nationalisée, mais la tutelle de l'État s'accrut et le droit de vote s'étendit à tous les actionnaires (il était jusqu'alors réservés aux 200 plus gros).
Le 28 août, fut adopté un budget de 20 milliards de francs pour de grands travaux.
La politique d'électrification des communes rurales, très énergique dans les années 1920 sous Henri Queuille, fut reprise.
Le Front populaire fit aussi un gros effort en matière d'éducation et loisirs. La scolarité obligatoire fut portée dès 1936 à quatorze ans, les passerelles entre l'enseignement primaire et les lycées furent multipliées — dans le prolongement de l'œuvre entreprise par Édouard Herriot quelques années plus tôt — les collections des grands musées furent enrichies et leurs tarifs réduits pour les gens modestes. Le musée d'art moderne, le musée national des Arts et Traditions populaires, le palais de la découverte, le musée de l'Homme et le CNRS sont des créations du Front populaire. L'ENA fut créée en 1945 par Michel Debré sur un projet de Jean Zay qui n'avait pas pu voir le jour à cause de la guerre.
« Notre but simple et humain, est de permettre aux masses de la jeunesse française de trouver dans la pratique des sports, la joie et la santé et de construire une organisation des loisirs telle que les travailleurs puissent trouver une détente et une récompense à leur dur labeur. » (Léo Lagrange, sous-secrétaire d'État à la jeunesse et aux loisirs, lors d'un discours radiodiffusé, le 10 juin 1936).
(définition Wikipédia)

vendredi 7 novembre 2008

Art & décoration



Mensuel française crée en 1897.
1897 naissance d'Art et Décoration, revue mensuelle, à l'origine du mouvement des Arts décoratifs. Mettre en scène des ambiances chaleureuses où tout le monde peut trouver une inspiration, un objet, un meuble qui fera de sa maison un lieu où il fait bon vivre.
Faire découvrir à chaque parution, les artisans, le mobilier et les curiosités d'une ville française.
Témoin unique de l'art de vivre à la française depuis le XIXème siècle, Art et Décoration a évolué au fil du temps, toujours à l'écoute de ses lecteurs.
Illustration : Art & décoration 1897 – 1939 les années « mémoire » - Éditions MASSIN

jeudi 6 novembre 2008

Musée des années 30

Les années 30 sont une période intensément créatrice. Coincées entre deux guerres mondiales, ces années ont connu un véritable bouillonnement d'innovations techniques, industrielles, sociales, architecturales et artistiques. Il se trouve que Boulogne est un des lieux phares de cette période.
Adresse :28 avenue André Morizet 92100 Boulogne-Billancourt

mercredi 5 novembre 2008

Artiste marquant – Tamara DE LEMPICKA



Peintre, d'origine polonaise (1898 – 1980)
Connue pour ses portraits, sa peintures est souvent choisies lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres.
Ses modèles se caractérisent par des regards interrogateurs et sensuels, une bouche pulpeuse pour les femmes et pincée pour les hommes, des couleurs vives, mais en nombre limité, mises en valeur par des fonds gris ou noirs. Derrière une stylisation néo-cubiste, qui les situent parfaitement dans leur temps, ces portraits ne négligent aucune des magistrales recettes de composition qui furent élaborées par ses grands prédécesseurs de la Renaissance italienne.
(définition Wikipédia)
Illustration : Tamara DE LEMPICKA – Paris 1920-1938 - Herscher

mardi 4 novembre 2008

Artiste marquant – Eileen GRAY



Designer, d'origine irlandaise (1878 - 1976)
Ces premiers oeuvres sont des travaux de laque sur paravent ou meuble, avant de se lancer dans la créations de mobilier utilisant du tubes d'acier en collaboration avec Jean BADIVICI pour le projet de la maison E-1027 a Roquebrune, elle a aussi dessiner des motifs pour tapis.
A fait partie de l'UAM.
Illustration : Eileen GRAY – Taschen

lundi 3 novembre 2008

Artiste marquant – Jean DUNAND



Dinandier, laqueur, d'origine suisse naturalisé français en 1922 (1877 – 1942)
Très connue pour ses décors sur paravent et sa participation au décor du bateau Normandie.
Dinandier : fabriquant d'objets utilitaires et décoratifs par martelage à partir d'une feuille de métaux, différant matériaux peuvent être utiliser : cuivre (jaune ou rouge), étain, fer-blanc, or, argent.
Laque : technique ramener d'orient par les navigateurs au 17eme siècle, la laque est extrait d'un arbre poussant a l'état naturel de la Corée a la Birmanie.
Illustration : Jean DUNAND – vie et oeuvre – Les éditions de l'amateur

dimanche 2 novembre 2008

Théâtre de champs Élysée

C'est un bâtiment construit en 1913 de style mixte art déco et classique abritant trois salles de spectacle et un restaurant au sommet aligné sur les immeubles voisins de trois niveaux.
L'architecte choisi était Henry Van de Velde : ayant fait appel à l'entreprise Perret pour l'ossature en béton, il fut finalement évincé du projet. Auguste Perret transige ici un peu avec ses principes. Il affirmait habituellement que le « béton se suffit à lui même », mais il a intégré ici des bas-reliefs de Bourdelle en marbre blanc en façade.
Les quatre groupes de poteaux intérieurs ont été laissés visibles.
La façade est classée aux monuments historiques.
Le bâtiment comporte deux salles de spectacles : une grande salle à l’italienne de 1 905 places, vouée à l'opéra et à la musique et le studio des Champs-Élysées, consacrés au théâtre et la comédie.
Le théâtre est la propriété de la Caisse des dépôts et consignations.
(définition Wikipédia)
Liens : http://www.comediedeschampselysees.com/location/index.cfm

samedi 1 novembre 2008

Artiste marquant – Marcel GROMAIRE suite







D'autres illustrations
Illustration : GROMAIRE L'oeuvre gravé
GROMAIRE – Collection des maitres et GROMAIRE dessinateur – le musée de poche
GROMAIRE – Le point
VILLON GROMAIRE – Estampes dessins aquarelles
GROMAIRE – Musée d'art moderne de la ville de paris

vendredi 31 octobre 2008

La villa Savoye

La villa Savoye se visite comme une maison à habiter.
Découverte à la sortie d’un sous-bois, la villa est un parallélépipède blanc posé sur l’herbe.
Pour y entrer il faut la contourner. Attiré par la blancheur, la lumière qui vient d’en haut, on monte par une rampe qui invite à la promenade. Elle permet de contempler la courbe stricte de l’escalier et s’ouvre sur une grande terrasse autour de laquelle s’organisent les pièces à vivre.
A l’étage on peut choisir sa chambre parmi deux pièces calmes desservies par un couloir bleu, ou préférer une suite : chambre, boudoir et salle de bain, celle-ci magistralement mise en scène par la lumière zénithale.
S’imaginer, pourquoi pas :
recevant ses amis sur la terrasse protégée des vents et dominant le jardin ; préparant un repas dans une grande cuisine fonctionnelle ; devisant dans le salon, autour de la cheminée ; ou s’installant, s’il fait beau, tout en haut sur le pont, dans une chaise longue dominant le paysage pour être encore plus près du ciel, de la lumière, du soleil...et se sentir maître des lieux.
Appelée "les heures claires" par Pierre et Eugènie Savoye, ses propriétaires, c’est une maison de week-end conçue, en 1930, par l’architecte, Le Corbusier.
La villa Savoye, à Poissy, construite par Le Corbusier de 1928-1931 est considérée comme l’une de ses oeuvres majeures, et même comme l’un des sommets de l’architecture du 20e siècle.
Cette villa conçue pour un assureur, M. Savoye et son épouse, constitue le résultat de plusieurs années de recherches formelles, qui aboutirent au bouleversement des codes traditionnels de l’habitat domestique. Le bâtiment en forme de parallélépipède blanc et à la surface lisse, ouvert de fenêtres en bandeau, soutenu par de fins pilotis et surmonté d’un toit-terrasse, est posé au milieu d’une pelouse : c’est un véritable manifeste d’une architecture nouvelle.
Elle n’a rien d’une demeure luxueuse, c’est plutôt une « Machine à habiter », selon les mots de son concepteur, qui l’a dotée d’une architecture fonctionnelle ; « machine à émouvoir » également, elle invite le visiteur à une promenade architecturale et à la découverte de l’harmonie entre les formes architecturales et les jeux de lumière.
Elle fut classée monument historique en 1964, du vivant de son auteur – ce qui est exceptionnel.
Texte : http://villa-savoye.monuments-nationaux.fr/fr/
Adresse : Villa Savoye 82 rue de Villiers 78300 Poissy

jeudi 30 octobre 2008

Artiste marquant – André ARBUS



Ébéniste, d'origine française (1903 – 1969)
Enfant d'une famille ayant un long tradition d'ébénisterie de père et fils, en 1933, il s'impose comme le chef de file du retour a la tradition et a la qualité Française, il beaucoup travailler pour le Mobilier National.
A beaucoup marquer les années 40 par le raffinement de ces créations.
Membre de la SAD.
Illustration : André ARBUS Architecte-décorateur des années 40 - Norma éditions
Artiste

mercredi 29 octobre 2008

Artiste marquant – Gilbert POILLERAT



Maitre ferronnier, d'origine française (1902 – 1988)
Il débuta sa formation à l’école Boulle avant d’entrer dans l’atelier du ferronnier Edgar BRANDT. Il créa ensuite un secteur consacré à la ferronnerie d’art au sein de l’atelier de construction métallique BAUDET, DONON et ROUSSEL.
Sont œuvre présente des aspects contrastés, depuis les lignes épurées de certaines pièces faisant appel à de simples volutes, jusqu’à une inspiration plus baroque.
Illustration : Gilbert POILLERAT - Hazan

mardi 28 octobre 2008

Courant du passé – Les craquelés



Art de la maison, création styliser d'animaux dans des formes mariant cubistes de l'art déco et attitudes animalières.
Les artistes les plus connues sont POMPON, Jan et Joël MARTEL, Jean et Jacques ADNET, Édouard-Marcel SANDOZ, Charles LEMANCEAU, Georges CHEVALIER, NAM.
Produit par les grandes manufactures entre les 2 guerres.
Illustration : Craquelés – Les animaux en céramique 1920-1940 – Massin éditions
ADNET – Pigeon queue en éventail 1925

lundi 27 octobre 2008

La curiosité

La curiosité est elle un défaut ?
Elle permet de ce faire une idée par soit même, si l'ont ne connais pas comment peut ont avoir un avis sur un sujet , une oeuvre ou sur une personne, en lisant des livres, en regardant des reportages, en faisant des recherches sur le net, en visitant des musées, en rencontrant des personnes, a vous de choisir la méthode.
La curiosité permet de savoir et de comprendre.
Non la curiosité n'est pas un défaut.

dimanche 26 octobre 2008

Artiste marquant – Rob MALLET-STEVENS



Architecte, créateur de décors de cinéma, d'origine française (1886 - 1945)
Ont peut voir a Paris certains de ces constructions dans la rue qui porte sont nom.
Il fut l'un des principaux créateurs de l'UAM en 1929.
Illustration : Rob MALLET-STEVENS – Éditions des archives d'architecture moderne

samedi 25 octobre 2008

Artiste marquant – Jan et Joël MARTEL




Sculpteur, frères jumeaux d'origine française (1896 - 1966)
Leur oeuvre représente la sculpture moderne au niveau des formes et des matériaux utiliser, même si il sont rester très proche de leur racine Vendéen.
Voir leurs arbres cubistes en ciment armé en 1925 et leurs nombreuses collaboration avec Rob MALLET-STEVENS.
Ont fait partie de l'UAM.
Illustration : Jan et Joël MARTEL sculpteurs 1896 – 1966 – Gallimard / Electra
Jan et Joël MARTEL sculpteurs 1896 – 1966 – Catalogue exposition 1996

vendredi 24 octobre 2008

Artiste marquant – Pierre CHAREAU





Architecte ,meublier, d'origine française (1883 - 1950)
Sont oeuvre architecturale la plus connu reste la Maison de verre a Paris, ces créations de mobilier et luminaire sont remarquables par leurs design moderne.
A fait partie de l'UAM.
Illustration : Pierre CHAREAU – éditions du regard
CHAREAU Monographie – Centre George POMPIDOU
Pierre CHAREAU - Taschen

jeudi 23 octobre 2008

Musée d'art moderne de la ville de Paris

Musée d'art moderne de la ville de Paris
Situé dans le palais de Tokyo construit pour l'exposition internationale de 1937, le musée a été inauguré en 1961. Ses collections, riches de plus de 8000 œuvres illustrent différents courants de l'art du XXème siècle.
Le noyau d'œuvres provenant des collections "modernes" du Petit Palais enrichie grâce à la générosité des collectionneurs et legs (Docteur GIRARDIN), l'exposition de 1937 avais été l'occasion d'acquisitions particulièrement remarquables.
Adresse :11, avenue du Président Wilson 75116 Paris

mercredi 22 octobre 2008

Artiste marquant – Louise BROOKS





Actrice cinéma muet, d'origine américain (1906 - 1985)
Louise est considérée comme l'une des premières actrices « naturelles » du cinéma, son jeu étant subtil et nuancé par rapport à de nombreux acteurs du cinéma muet.
Dans Loulou (1929), son rôle de Loulou, une femme misérable aux prises avec Jack l'éventreur après une série d'escapades salaces, fait d'elle une icône de la vie et de la mort dans la période jazzy. Ce film est renommé pour son traitement cru des mœurs sexuelles d'alors, y compris la première apparition à l'écran d'une lesbienne. Louise joue ensuite dans les sociodrames controversés que sont Le Journal d'une fille perdue (1929) et Prix de beauté (1930), ce dernier étant tourné en France et offrant une fin aussi choquante que fascinante. Tous ces films sont largement censurés, étant très « adultes » dans leur propos et considérés comme choquants en raison de leur affichage de la sexualité, sans compter une critique acerbe de la société. Bien que passés inaperçus à l'époque en raison du succès des films parlants, ces trois films furent plus tard reconnus comme des pièces maîtresses du cinéma muet, son personnage de Loulou étant désormais mythique.
Sa coiffure si unique déclenche une nouvelle mode, et elle est bientôt imitée par de nombreuses femmes (les « flappers ») dans le monde entier.
Flappers est le nom que l'on donne aux jeunes femmes modernes des années 1920 : jupe courte, cheveux coupés au carré, mœurs libres
(définition Wikipédia)
Illustration : Louise BROOKS – Portrait d'une anti-star – Ramsay poche cinéma
Louise BROOKS par Louise BROOKS – Pygmalion Gérard WATELET
Coffret 3 DVD

mardi 21 octobre 2008

Artiste marquant – Jean-Michel FRANK



Décorateur, d'origine française (1895 - 1941)
Une leçon moderne de simplicité au service de la bonne société parisienne.
Très connue pour sont utilisation de la marqueterie de paille, du galuchat et du cuir.
Ouverture de sa boutique en 1933 a Paris.
A travailler en collaboration avec : Adolphe CHANAUX, Alberto et Diego GIACOMETTI, Christian BERARD, Emilio TERRY, RODOCANACHI.
S'exile a New-York en 1939.
Illustration : Jean-Michel FRANK – éditions du regard

lundi 20 octobre 2008

Le Normandie



Un Grand bateau le Normandie, qui a été le meilleur ambassadeur français du savoir faire des années 30, construis a partir de 1931, a battu plusieurs fois le record du « Ruban bleu » pour la traverse de l'océan Atlantique, a malheureusement fini en feu en 1942 dans le port de New York, l'épave est vendu a un ferrailleur en 1946.
Illustration : Normandie – Herscher, couverture dessiner par Cassandre

dimanche 19 octobre 2008

Artiste marquant – Franck Lloyd WRIGHT



Architecte, d'origine américaine (1867 – 1959)
L'un des architectes modernes ayant marqué la premières moitié du 20eme siècles.
Près de 800 projets dessinés, dont une bonne moitié ont été réalisés, l’une de ces créations les plus connues est le musée GUGGENHEIN situé à NEW YORK.
Beaucoup de ces créations architecturale restait en symbiose avec la nature.
Illustration : Franck Lloyd WRIGHT - Taschen

samedi 18 octobre 2008

Artiste marquant – Charles Rennie MACKINTOSH



Architecte, styliste et peintre, d'origine écossaise (1868 – 1928)
L'un des pionniers de l'architecture moderne et du design, créateur au multiples facette, représente l'école anglaise du début du 20eme siècles.
Très connue pour sur mobilier d'intérieur.
Illustration : Charles Rennie MACKINTOSH - Taschen

vendredi 17 octobre 2008

BABAR par Jean de BRUNHOFF

Auteur illustrateur, d'origine française (1899 - 1937)
Babar est un éléphant de fiction, héros de la littérature d'enfance et de jeunesse créé par Jean de Brunhoff.
C'est l'épouse de Jean de Brunhoff, Cécile, qui est à l'origine de Babar. Elle a coutume de raconter des histoires à ses deux fils, Laurent et Mathieu. Parmi celles-ci, celle d'un petit éléphant qui s'enfuit pour échapper au chasseur et arrive dans une ville où il s'habille comme un homme. Revenu chez lui en voiture, il est couronné roi des éléphants.
Ce récit leur plaît tellement qu'ils le racontent à leur père, artiste peintre. L'idée lui vient alors d'en faire un livre illustré pour un usage familial. Son frère Michel de Brunhoff et son beau-frère Lucien Vogel, enthousiasmés, le publient aux Éditions du Jardin des Modes sous le titre L'Histoire de Babar le petit éléphant (1931), à l'époque de l'Exposition coloniale.
Le personnage connaît un succès inouï avec quatre millions d'exemplaires vendus avant 1939. Fait rare, Babar rencontre aussi le succès aux États-Unis. À la disparition de son père, c'est Laurent de Brunhoff qui poursuit les aventures de Babar et les adapte pour la télévision française en 1969.
(définition Wikipédia)
http://www.babar.com/fr/

jeudi 16 octobre 2008

Artiste marquant – Marcel GROMAIRE





Peintre, d'origine française (1892 – 1971)
Peintre très marquer par les ambiances du nord de la France, la beauté des femmes, la guerre et le monde rural.
La plus complètes des collections de sa peinture (Legs du docteur GIRARDIN) est au musée d'Art moderne de la ville de Paris et la collection complet des oeuvres gravés est au musée de Gravelines.
Illustration : GROMAIRE 50 ans de dessins - Galerie de la présidence
Gravure Nue a la rose 1932 – quatrième état
Affiche exposition 1958

mercredi 15 octobre 2008

Courant du passé – Bauhaus



Le Bauhaus, fusion de 2 écoles d'art a Weimar en Allemagne, crée en 1919 par Walther GROPIUS et qui par extension désigne un courant artistique.
Le but et programme de cette école « la construction de l'avenir », enseignement sous forme d'atelier avec un maitre-artisan.
Ce mouvement posera les bases de la réflexion sur l'architecture moderne.
Quelques noms : Maria BRANDT, Marcel BREUER, Lyonel FEININGER, Johannes ITTEN, Paul KLEE, Gerhard MARCKS.
Fermeture de l'école de Weimar en 1933 par le gouvernement Allemand de l'époque.
Illustration : Bauhaus - Taschen

mardi 14 octobre 2008

Courant du passé – Atelier viennois



Wiener Werkstatte ou l'atelier viennois en français, groupement d'architecte et d'artisans d'art crée en 1903 a Viennes, la sécession d'avec le passé, trouve ces influences dans l'école anglo-saxonnes (Charles Rennie MACKINTOSH), l'esthétisme de l'art japonais (très en vogue au début de 1900).
Atelier permettant le concept total d'un ensemble.
Quelques noms : Josef HOFFMAN, Gustav KLIMT, Koloman MOSER, Frizt WAERNDORFER.
Aucun objet usuel n'était trop banal.
Dissolution des ateliers en 1931 et cessation de commerce en 1932.
Illustration : Wiener Werkstatte - Taschen

lundi 13 octobre 2008

Artiste marquant – DUPRE-LAFON



Architecte, décorateur et créateur de meuble, d'origine française (1900 – 1971)
Toutes ses créations sont des pièces uniques, faite sur mesure pour s'inscrire dans des ensembles complètes de décoration commander par de riches clients millionnaires.
Ces créations sont a la jonction entre l'Art Déco et le Mouvement Moderne.
Illustration : DUPRE-LAFON décorateur des millionnaires – Richer / éditions de l'amateur

dimanche 12 octobre 2008

Courant du passé - SAD



SAD ou Sociétés des Artistes Décorateur, associations professionnel crée en 1900, représente la tradition et le bon goût français du début du 20ème siècle couvrant tous les domaines des arts décoratifs.
Ce mouvement très dynamique a organiser dés sa création des salons, présentant les œuvres de ces adhérents, voir l'exposition de 1925.
Quelques noms : Jacques ADNET, André ARBUS, René BUTHAUD, Raoul DUFY, Jean DUNAND, André GROULT, René LALIQUE, Gilbert POILLERAT, François POMPOM, Jacques-Émile RUHLMAN.
Cette tradition est inscrit dans le patrimoine Français pour toujours.
Illustration : Les artistes décorateurs 1900-1942 - Flammarion

samedi 11 octobre 2008

Courant du passé - UAM



L'UAM ou Union des Artistes Modernes, groupement d'artiste crée en 1929, voulant se démarquer des artistes décorateur juger trop classique dans leurs choix de formes et de matériaux.
Ce mouvement a fortement marquer le renouveau des formes et la façon d'utiliser les matières premières, les adhérants de ce mouvement était impliqué a tout les niveaux de le créations de l'époque, aussi bien l'architecture,que le mobilier d'intérieur, l'éclairage, l'art de la maison, les affiches publicitaires ou la sculpture.
Quelques noms : A.M Cassandre, Pierre CHAREAU, Eileen GRAY, René HERBST, Le CORBUSIER, Robert MALLET-STEVENS, Jan et Joël MARTEL, Charles PEIGNOT, Charlot PEIRRIAND, Jean PROUVE, Jean PUIFORCAT, André SALOMON.
Les marques laisser dans le 20eme siècles, par ce mouvement sont toujours présente de nos jours dans la création contemporaine.
Fin de ce mouvement en 1958.
Illustration : UAM – Éditions du regard