mercredi 26 novembre 2008

Artiste marquant – AM Cassandre


Artiste marquant – Cassandre
Graphiste, affichiste, décorateur de théâtre, lithographe, peintre, et créateur de caractères d'imprimerie, d'origine française (1901 - 1968)
Cassandre, pseudonyme d'Adolphe Jean Marie Mouron
Il est principalement connu pour ses affiches publicitaires très dépouillées pour l’Étoile du Nord, Chat Noir et Dubo, Dubon, Dubonnet, ou la célèbre affiche du paquebot Normandie, réalisée dans les années 1930.
il est au courant de la recherche artistique de son époque et fut particulièrement marqué par le cubisme et le purisme, ainsi que par le travail des photographes et des cinéastes. L'influence des futuristes italiens transparaît dans son œuvre à travers sa façon de rendre visuelles la vitesse et la modernité, en particulier dans les publicités pour le train ou les paquebots. Il se fait ainsi le chantre du progrès technique et son œuvre est en cela emblématique de l'époque.
Il définissait sa manière comme « géométrique et monumentale ». Ces travaux exposent son style très identifiable reposant sur une simplification des formes et l'accentuation des perspectives, et ce pour souligner l'aspect très géométrique de ses sujets, en particulier sur les affiches pour les paquebots (voir son affiche spécialement créée pour le voyage inaugural du Normandie, remarquablement silhouetté de face, le 29 mai 1935). La typographie occupe une place décisive et fait partie intégrante de la composition. Il est l'un des premiers à utiliser les lettres comme des éléments graphiques essentiels à la composition et à les traiter comme des surfaces. Cassandre crée d'ailleurs ses propres caractères ainsi que des logotypes comme celui d'Yves Saint-Laurent. Les polices utilisées sont quasiment exclusivement des capitales linéales (sans empattement) dont la simplicité permet le traitement modulaire et la construction géométrique quasi architecturale qu'il affectionne. Elle offrent en outre l'avantage de pouvoir être déformées tout en demeurant lisibles.
Les fontes créées par Cassandre reposent sur des formes pures, réduites à l'essentiel tout en demeurant identifiables. Convaincu que les capitales romaines constitue la forme la plus pure et la plus noble de l'alphabet, il omettra fréquemment de développer des minuscules qu'il considère comme une altération du modèle due aux contraintes de l'écriture manuscrite et préférera créer des bas de casse qui sont en fait de petites majuscules.
L'œuvre de Cassandre se distingue également par son travail sémantique. Dans le cadre de la campagne pour l'apéritif Dubonnet, il crée une succession d'images dont la légende fait apparaitre progressivement la marque et constitue le slogan, soutenu par l'illustration : dubo (un homme stylisé regarde un verre d'apéritif, seuls le verre, son bras et son visage sont en couleurs, le reste est esquissé), dubon (il le porte à sa bouche, la couleur se répand dans son corps), dubonnet (il se ressert et toute l'image est en couleur).
Le style de Cassandre associe la pureté des lignes à l'utilisation dramatique de la couleur notamment par des dégradés réalisés à l'aérographe, une technique qui se répand progressivement dans les années 1920.
(définition Wikipédia)
Illustration : A.M CASSANDRE oeuvres graphiques modernes 1923 – 1939 – Éditions BNF
http://www.cassandre.fr/

dimanche 23 novembre 2008

Artiste marquant – François POMPON

Sculpteur, d'origine française (1855 – 1933)
Pompon a été le premier artiste animalier à adhérer aux tendances de l’avant-garde sculpturale. Si ses dessins s’apparentent à ceux de Modigliani, Marcel Duchamp, Zadkine etc., des sculptures comme « Le canard sur l’eau » évoquent le phoque de Brancusi « La cigogne » ou « la grue cendrée » de Pompon ont les mêmes formes ovoÏdes que « l’oiseau d’or » de Zadkine (1920), « les colombes » (1913) de Barbara Heptworth ou « les colombes » de Jacob Epstein.
Pompon maîtrisait aussi bien l’art du bronze que la taille directe (il fit des pratiques pour Rodin pendant plus de quinze ans et pour Saint Marceaux plus épisodiquement). A partir de 1922, Pompon participe aux expositions de la « douce France » organisées par Emmanuel de Thubert, mais il ne considère pas la taille directe supérieure à l’édition en bronze. Pompon pense que les deux techniques ne s’excluent pas (en 1919, c’est déjà un débat dépassé). Pompon expose en compagnie de Joseph Bernard « le vase aux canards » et « la taupe » à la galerie Barbazanges.
Bien que fidèle au Salon des Artistes Français, Pompon se joint à la Société des Artistes Animaliers Français lors de la troisième exposition en 1921 sous la présidence de Georges Gardet dont la démission sera obtenue en 1931. Pompon dominait ce salon depuis de nombreuses années en compagnie de Edouard-Marcel Sandoz. Ils fondent un salon dissident en 1927 ; le Salon des Animaliers contemporains.
(définition du liens)
Sont oeuvre la plus connue, est surement l'ours polaire.
http://www.pompon.fr/

jeudi 20 novembre 2008

Rue MALLET-STEVENS

Une rue avec un concept total créer par un seul créateur pour différent client.
La rue Mallet-Stevens est inaugurée le mercredi 20 juillet 1927 à 15 heures en présence de Monsieur Bokanowski, Ministre du Commerce et de l'Industrie, et de Messieurs Bouju, Préfet de la Seine, Chiappe, Préfet de Police et Fernand-Laurent Conseiller Municipal de Paris.
http://www.associationruemalletstevens.com/
Adresse : rue Mallet-Stevens 75016 Paris

samedi 15 novembre 2008

Villa La ROCHE et JEANNERET

Le Corbusier, soucieux d'éviter la dispersion de ses études, de ses plans, et de certaines de ses oeuvres plastiques avait, avant sa disparition jeté les bases d'une fondation à laquelle il a légué l'ensemble de ses biens. Reconnue d'utilité publique par un décret du 31 juillet 1968, la Fondation Le Corbusier est installée dans ces villas.
http://www.fondationlecorbusier.asso.fr/fondationlc.htm
Adresse : 8-10, square du Docteur Blanche 75016 Paris

vendredi 14 novembre 2008

L’olympia Paris



L'Olympia : une salle mythique, le plus prestigieux music hall de Paris,... Chanson, jazz, comique, pop, rock, rap : les plus grandes vedettes, le talent à l'état pur, des soirées inoubliables depuis plus de 50 ans…
L'Olympia vit au rythme des concerts et de l'émotion partagée par les artistes et les spectateurs.
Ouvert en 1893 par Joseph Oller, le fondateur des montagnes russes,du Pari Mutuel et du Moulin Rouge, l'Olympia est le plus ancien music-hall de Paris encore en activité.Aujourd'hui, on reconnaît L'Olympia facilement à ses lettres rouges géantes sur la façade. Inauguré par la plus grande vedette française de l'époque, La Goulue, il accueillit les plus grands artistes français.
En plus de la musique et de la chanson, l'Olympia accueillait une grande variété de spectacles, y compris des cirques, des ballets, et des opérettes.
Suite au déclin des spectacles de grandes vedettes, Jacques Haïk, le créateur du Grand Rex, a entièrement reconstruit l'ancien music-hall de Joseph Oller pour en faire la magnifique salle qui sera classée monument historique en 1993. Cette salle n'a jamais été fermée, elle fut cinéma et music-hall de 1930 à 1987 sous l'enseigne "Olympia Théâtre Jacques Haïk".
Menacé de destruction depuis longtemps, puis reconstruit en 1997, il est classé patrimoine culturel le 7 janvier 1993 par le Ministre de la Culture français, Jack Lang, ce qui aboutit après deux années de chantier à une reconstruction à l'identique de la salle et de son célèbre hall rouge, quelques mètres plus loin, la façade n'ayant pas été touchée. En 2001, Vivendi Universal rachète la salle de spectacle. La scène aussi a changé de place.
(définition Wikipédia)
http://www.olympiahall.com/
Adresse : 28, Boulevard des Capucines 75009 Paris
Illustration : Olympia Bruno COQUATRIX – Éditions hors collection

jeudi 13 novembre 2008

Artiste marquant – Marcel GROMAIRE suite 2


Artiste marquant – Marcel GROMAIRE suite 2
Une autre illustration pour cette artiste.
Illustration : Marcel GROMAIRE - La vie et oeuvre – catalogue raisonné des peintures – La bibliothèque des arts
http://www.presidence.fr/html/gromaire/biographie.htm#

mercredi 12 novembre 2008

Courant du passé – Cubisme



Mouvement artistique
Selon Guillaume APPOLINAIRE « ce qui différencie le cubisme de l'ancienne peinture, écrit il, c'est qu'il n'est pas un art d'imitation, mais un art de conception qui tend a s'élever jusqu'à la création... En représentant la réalité conçue ou la réalité-créée, le peintre peut donner l'apparence de trois dimensions... Il ne le pourrait pas en rendant simplement la réalité-vue ou en perspective, ce qui déformerait la qualité de la forme conçue ou créée... »
Illustration : Cubisme – Cercle d'art

mardi 11 novembre 2008

Artiste marquant – Coco CHANEL



Modiste, d'origine française (1883 - 1971)
Créatrice de la célèbre maison de couture parisienne.
Elle taille des robes de sport dans le jersey des sweaters de lads, ces tricots de corps pour les soldats, qu'elle a depuis longtemps adoptés. Libérant le corps, abandonnant la taille, Chanel annonce cette « silhouette neuve » qui lui vaudra sa réputation. Pour s'y conformer, les femmes s'efforcent d'être « maigres comme Coco », qui, d'un coup de ciseaux libérateur, devient une des premières femmes aux cheveux courts à créer des vêtements simples et pratiques, dont l’esthétique s’inspire d'une vie dynamique et sportive qui aime jouer avec les codes féminins/masculins.
(définition Wikipédia)
Illustration : Coco CHANEL – Grandes biographies - Flammarion

lundi 10 novembre 2008

La Maison de Verre

La Maison de Verre est un projet réalisé par l'architecte-décorateur Pierre Chareau et l'architecte Bernard Bijvoet pour le docteur Dalsace entre 1928 et 1931. Elle est son œuvre majeure, composée de trois étages, conçue comme un espace total, dont la façade sur cour est complètement vitrée : une structure métallique tramée soutient des panneaux en pavés de verre. Tandis que les chambres s'isolent par des portes-placards, en bois ou métal, qui coulissent ou pivotent. La structure (poutres et poutrelles en acier), les canalisations et conduits restent visibles et participent à l'architecture, transformant ainsi les éléments utilitaires de la maison en éléments décoratifs. Il utilise aussi des dalles ou briques de verre séparant les espaces et parfois les mises en façades sont rythmées en contraste avec le béton (jeu de géométrie avec des influences japonaises, des répétitions formelles et une trame rythmique)
La nouvelle maison s'est glissée sous l'ancien hôtel particulier, car la locataire âgée du dernier étage ne voulait pas partir.
(définition Wikipédia)
Adresse : 31, rue Saint-Guillaume 75007 Paris

dimanche 9 novembre 2008

Artiste marquant – Jean PROUVE



Designer, d'origine française (1901 – 1984)
La société des ateliers Jean PROUVE, très ingénieux pour créations de ses chaises et mobiliers d'écoles en acier, ses maisons en structure métallique reproductible a bas prix et ces murs rideaux.
Illustration : Jean PROUVE - Taschen

samedi 8 novembre 2008

Front populaire 1936

Le 7 juin 1936, les accords de Matignon furent signés par la CGT et le patronat, à l'initiative du gouvernement. Ces accords mettaient en place entre autres le droit syndical et prévoyaient une hausse des salaires de plus de 7 à 15 % selon les branches soit environ 12% de moyenne sur toute la France. Quelques jours plus tard, bien que ces mesures ne figurent pas dans le programme du Front Populaire, par deux lois votées par le Parlement, les premiers congés payés (2 semaines) furent instaurés, et la semaine de travail passa de 48 à 40 heures. Pour les ouvriers et employés partant en vacances, Léo Lagrange créa des billets de train avec 40 % de réduction, qui existent toujours.
Le 29 juillet, fut votée la retraite des mineurs et, le 28 août, une loi sur les allocations chômage. Une politique de nationalisations fut mise sur pied, dans l'industrie aéronautique, d'armement (7 août), puis dans les chemins de fer (naissance de la SNCF en 1938). La Banque de France ne fut pas nationalisée, mais la tutelle de l'État s'accrut et le droit de vote s'étendit à tous les actionnaires (il était jusqu'alors réservés aux 200 plus gros).
Le 28 août, fut adopté un budget de 20 milliards de francs pour de grands travaux.
La politique d'électrification des communes rurales, très énergique dans les années 1920 sous Henri Queuille, fut reprise.
Le Front populaire fit aussi un gros effort en matière d'éducation et loisirs. La scolarité obligatoire fut portée dès 1936 à quatorze ans, les passerelles entre l'enseignement primaire et les lycées furent multipliées — dans le prolongement de l'œuvre entreprise par Édouard Herriot quelques années plus tôt — les collections des grands musées furent enrichies et leurs tarifs réduits pour les gens modestes. Le musée d'art moderne, le musée national des Arts et Traditions populaires, le palais de la découverte, le musée de l'Homme et le CNRS sont des créations du Front populaire. L'ENA fut créée en 1945 par Michel Debré sur un projet de Jean Zay qui n'avait pas pu voir le jour à cause de la guerre.
« Notre but simple et humain, est de permettre aux masses de la jeunesse française de trouver dans la pratique des sports, la joie et la santé et de construire une organisation des loisirs telle que les travailleurs puissent trouver une détente et une récompense à leur dur labeur. » (Léo Lagrange, sous-secrétaire d'État à la jeunesse et aux loisirs, lors d'un discours radiodiffusé, le 10 juin 1936).
(définition Wikipédia)

vendredi 7 novembre 2008

Art & décoration



Mensuel française crée en 1897.
1897 naissance d'Art et Décoration, revue mensuelle, à l'origine du mouvement des Arts décoratifs. Mettre en scène des ambiances chaleureuses où tout le monde peut trouver une inspiration, un objet, un meuble qui fera de sa maison un lieu où il fait bon vivre.
Faire découvrir à chaque parution, les artisans, le mobilier et les curiosités d'une ville française.
Témoin unique de l'art de vivre à la française depuis le XIXème siècle, Art et Décoration a évolué au fil du temps, toujours à l'écoute de ses lecteurs.
Illustration : Art & décoration 1897 – 1939 les années « mémoire » - Éditions MASSIN

jeudi 6 novembre 2008

Musée des années 30

Les années 30 sont une période intensément créatrice. Coincées entre deux guerres mondiales, ces années ont connu un véritable bouillonnement d'innovations techniques, industrielles, sociales, architecturales et artistiques. Il se trouve que Boulogne est un des lieux phares de cette période.
Adresse :28 avenue André Morizet 92100 Boulogne-Billancourt

mercredi 5 novembre 2008

Artiste marquant – Tamara DE LEMPICKA



Peintre, d'origine polonaise (1898 – 1980)
Connue pour ses portraits, sa peintures est souvent choisies lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres.
Ses modèles se caractérisent par des regards interrogateurs et sensuels, une bouche pulpeuse pour les femmes et pincée pour les hommes, des couleurs vives, mais en nombre limité, mises en valeur par des fonds gris ou noirs. Derrière une stylisation néo-cubiste, qui les situent parfaitement dans leur temps, ces portraits ne négligent aucune des magistrales recettes de composition qui furent élaborées par ses grands prédécesseurs de la Renaissance italienne.
(définition Wikipédia)
Illustration : Tamara DE LEMPICKA – Paris 1920-1938 - Herscher

mardi 4 novembre 2008

Artiste marquant – Eileen GRAY



Designer, d'origine irlandaise (1878 - 1976)
Ces premiers oeuvres sont des travaux de laque sur paravent ou meuble, avant de se lancer dans la créations de mobilier utilisant du tubes d'acier en collaboration avec Jean BADIVICI pour le projet de la maison E-1027 a Roquebrune, elle a aussi dessiner des motifs pour tapis.
A fait partie de l'UAM.
Illustration : Eileen GRAY – Taschen

lundi 3 novembre 2008

Artiste marquant – Jean DUNAND



Dinandier, laqueur, d'origine suisse naturalisé français en 1922 (1877 – 1942)
Très connue pour ses décors sur paravent et sa participation au décor du bateau Normandie.
Dinandier : fabriquant d'objets utilitaires et décoratifs par martelage à partir d'une feuille de métaux, différant matériaux peuvent être utiliser : cuivre (jaune ou rouge), étain, fer-blanc, or, argent.
Laque : technique ramener d'orient par les navigateurs au 17eme siècle, la laque est extrait d'un arbre poussant a l'état naturel de la Corée a la Birmanie.
Illustration : Jean DUNAND – vie et oeuvre – Les éditions de l'amateur

dimanche 2 novembre 2008

Théâtre de champs Élysée

C'est un bâtiment construit en 1913 de style mixte art déco et classique abritant trois salles de spectacle et un restaurant au sommet aligné sur les immeubles voisins de trois niveaux.
L'architecte choisi était Henry Van de Velde : ayant fait appel à l'entreprise Perret pour l'ossature en béton, il fut finalement évincé du projet. Auguste Perret transige ici un peu avec ses principes. Il affirmait habituellement que le « béton se suffit à lui même », mais il a intégré ici des bas-reliefs de Bourdelle en marbre blanc en façade.
Les quatre groupes de poteaux intérieurs ont été laissés visibles.
La façade est classée aux monuments historiques.
Le bâtiment comporte deux salles de spectacles : une grande salle à l’italienne de 1 905 places, vouée à l'opéra et à la musique et le studio des Champs-Élysées, consacrés au théâtre et la comédie.
Le théâtre est la propriété de la Caisse des dépôts et consignations.
(définition Wikipédia)
Liens : http://www.comediedeschampselysees.com/location/index.cfm

samedi 1 novembre 2008

Artiste marquant – Marcel GROMAIRE suite







D'autres illustrations
Illustration : GROMAIRE L'oeuvre gravé
GROMAIRE – Collection des maitres et GROMAIRE dessinateur – le musée de poche
GROMAIRE – Le point
VILLON GROMAIRE – Estampes dessins aquarelles
GROMAIRE – Musée d'art moderne de la ville de paris